Je ‘vois la vie en j’ose’…

Les raisons pour lesquelles les personnes viennent me consulter sont diverses et variées.

Cependant, nombreux, nombreuses sont ceux et celles qui viennent déposer dans mon cabinet leur sentiment de manque, me confier leur insatisfaction et par conséquent, leurs difficultés à accéder au « bonheur ».

La plupart de ces personnes ont déjà suivi divers chemins et certaines me demandent :

« Comment accepter mon karma, ma destinée, en regard de mes manques ? »

« Je dois absolument faire un travail sur moi »

On  touche là à la légitimité au bonheur de chacun, en procédant à un bilan sur l’estime de soi.

Alors vient la question : 

« Pourquoi ne faites-vous pas le nécessaire pour obtenir ce qui vous manque ? »

Peut-être trouverez-vous cette question simpliste et puérile, mais en y réfléchissant un peu, ne vous arrive-t’il pas de subir plutôt que de choisir ? 

Nous avons malgré nous tendance à rester dans notre zone de confort

Les obstacles et les freins qui nous entravent existent-t’ils vraiment ou les fabriquons-nous ?

Ne sont-ils pas plutôt autant d’excuses pour ne pas décider de passer à l’action ? 

Et…j’ai l’intime conviction que vous avez juste besoin de vous mettre en route 

Sur ce chemin, je vous propose un guidage, un éclairage, des arrêts nécessaires, parfois, peut-être des retours en arrière, pour mieux repartir d’un bon pied. 

Passez à l’action, foncez, OSEZ , VOYEZ LA VIE EN J’OSE !!!

Si le coeur vous en dit : contactez-moi, par mail, par téléphone, par zoom, en live, teams (ou mon cabinet privé bien sûr )vous avez la chance de vivre à une époque où tous les moyens de communication existent, alors, Lancez-vous, je vous attends !

Soit certain de l’incertain ; Attends-toi à l’inattendu

Un grand nombre d’individus pensent qu’une vie épanouie est une vie pleine de certitudes. Mais se remplir de ces évidences va à l’encontre des nombreuses imprévisibilités de notre quotidien.

Lorsque nous nous conditionnons sur un ensemble de certitudes, nous ne préparons pas notre cerveau à nous libérer de nos croyances limitantes (exemples : « je ne vaux rien », « je suis nul(le) », « ce monde est pourri » etc…)

Lorsqu’une crise comme celle que nous vivons actuellement touche l’ensemble d’une population, nous prenons conscience de notre fragilité individuelle. Notre chemin ne tient qu’à un fil de crises incontrôlables et imprédictibles :

  • crise économique
  • crise migratoire
  • crise sanitaire
  • crise écologique

Le cerveau adore le contrôle et la certitude, mais là est le piège. 

“Nous essayons de nous entourer d’un maximum de certitudes, mais vivre, c’est naviguer dans une mer d’incertitudes, à travers des îlots et des archipels de certitudes sur lesquels on se ravitaille…” – Edgar Morin 

En acceptant toutes formes de bouleversements, l’individu réduit sa charge d’anxiété, de stress et d’angoisse. Les émotions négatives et autres ruminations pourraient ainsi l’éloigner de son chemin initial. 

Mais pour les lecteurs qui veulent affronter l’incertitude, quelle action pouvez-vous entreprendre dès maintenant ?

Vous pouvez commencer par revisiter vos valeurs car elles dictent votre ligne de conduite en tout temps.

Aligné avec elles, vous allez prendre du recul vis-à-vis de la situation, trouver vos vrais repères et finalement affronter plus aisément les prochaines incertitudes. 

Et pour les lecteurs qui ont des difficultés à identifier leurs valeurs, nous pouvons travailler ensemble sur une série d’exercices qui, pas à pas, vous rapprocheront d’elles. 

On se retrouve ici ?

mindtrajectory@gmail.com,

+ 32(0)475 45 30 12

+ 33(06)  38 74 4912

Témoignage anonyme

Au fil des années quelque chose change en moi : la conscience sereine d’exister

Malgré des moments faits de haut et de bas, j’ai la certitude que je reviens toujours à l’équilibre

Cela peut paraître idiot mais ça ne l’est pas

Mon guide intérieur veille sur moi. Je suis confiant. Je sais que je peux compliquer ce qui est simple

Ce qui m’arrive aura toujours du sens. Si je pense cela j’aurais toujours droit à la légèreté

Super-maman, parfaite-épouse, top-manager

Au secours, je « bug » !!!

Il y a à peine quelques dizaines d’années en faisant le choix de la maternité, la femme s’occupait du soin et de l’éducation des enfants tout en tenant son ménage. Ceci représentait 100% de son temps.
Aujourd’hui en plus de leur travail, les femmes continuent à assumer 65% des tâches parentales ( source Insee, enquête « emploi du temps 2009-2010 », juin 2012)

Le culte de la beauté dans notre société ajoute encore une couche supplémentaire aux exigences auxquelles les femmes se soumettent

Pas étonnant de constater que les femmes sont deux fois plus sujettes à la souffrance psychique liées au travail (burn-out, dépression…)

Comment je m’en sors ?

Faites de vous une amie qui vous veut du bien

Mais au fait qu’est-ce qu’une « vraie amie »?

 Je vous partage un texte de Jim Morrison

« Un(e) ami(e) est quelqu’un qui vous donne une liberté totale d’être vous-même, en particulier de ressentir ou de ne pas ressentir

Peu importante ce que vous ressentez à un moment donné, tout est bien pour lui (elle)

C’est cela le vrai amour , permettre à une personne d’être ce qu’elle est vraiment »

Que diriez-vous de devenir votre meilleure amie ?

Que diriez-vous de vous regarder avec « amour » ?

Que diriez-vous de vous octroyer des moments « à vous » sans culpabilité ?

Que diriez-vous de savoir dire « non » à votre mari, à votre boss, à vos enfants ?

Que diriez-vous de reconnaître les signaux du corps ?

Que diriez-vous d’apprendre à gérer le « trop » de colère ?

Sur quoi portes-tu ton attention ?

« Un amérindien et son ami, en visite au centre ville de New York, marchaient près de Times Square dans Manhattan. C’était durant l’heure du lunch et les rues étaient bondées de monde. Les autos klaxonnaient de plus belle, les autos taxi faisaient crisser leurs pneus sur les coins de rue, les sirènes hurlaient et les bruits de la ville rendaient presque sourd. Soudain, l’amérindien dit, « j’entends un grillon. »

Son ami répondit, « Quoi? Tu dois être fou. Tu ne pourrais jamais entendre un grillon au milieu de tout ce vacarme! »

« Non, j’en suis sûr, » dit l’amérindien, « j’entends un grillon. »

« C’est fou, » dit l’ami.

L’amérindien écouta attentivement pendant un moment, puis traversa la rue jusqu’à un gros planteur en ciment où poussaient quelques arbustes. Il regarda à l’intérieur des arbustes, sous les branches et avec assurance il localisa un petit grillon. Son ami était complètement stupéfait.

« C’est incroyable, » dit son ami. « Tu dois avoir des oreilles super-humaines ! »

« Non, » répondit l’amérindien. « Mes oreilles ne sont pas différentes des tiennes. Tout ça dépend de ce que tu cherches à entendre. »

« Mais ça ne se peut pas ! » dit l’ami. « Je ne pourrais jamais entendre un grillon dans ce bruit. »

« Oui, c’est vrai, » répliqua l’amérindien. « Ça dépend de ce qui est vraiment important pour toi. Tiens, laisse-moi te le démontrer. »

Il fouilla dans sa poche, en retira quelques sous et discrètement les jeta sur le trottoir. Et alors, malgré le bruit de la rue bondée de monde retentissant encore dans leurs oreilles, ils remarquèrent que toutes les têtes, jusqu’à une distance de 7 mètres d’eux, se tournaient et regardaient pour voir si la monnaie qui tintait sur le pavement était la leur.

« Tu vois ce que je veux dire? » demanda l’amérindien. « Tout ça dépend de ce qui est important pour toi. »

2019 est là ! 2018 est derrière nous …Les années passent…et si vieillir était une découverte …

Quelques questions…à méditer :
Vieillir s’est « devenir »?
Au fur et à mesure des années, pensez-vous « déclin » et « faiblesse » ou « possibilités de croissance », « d’épanouissement » et « accomplissement »?
Votre âge fait-il partie des priorités de votre vie ?
En vieillissant, apprécierez-vous d’être regardé, reconnu à votre juste valeur sans vous déprécier à votre tour ?

La solitude

« La solitude est plus une grâce qu’une malédiction. Bien que beaucoup la vivent autrement (…) Il y a deux solitudes (…)Une mauvaise solitude. Une solitude noire, pesante. Une solitude d’abandon, où vous vous découvrez abandonné…peut-être depuis toujours. Cette solitude là n’est pas celle dont je parle dans mes livres. Ce n’est pas celle que j’habite, et ce n’est pas dans celle-là que j’aime aller, même s’il m’est arrivé comme tout en chacun de la connaitre.
C’est l’autre solitude que j’aime. C’est l’autre solitude que je fréquente, et c’est de cette autre dont je parle presque en amoureux (…) je crois que pour vivre- parce que l’on peut passer cette vie sans vivre, et c’est un état sans doute pire que la mort-(…) il faut avoir été regardé au moins une fois, avoir été aimé au moins une fois, avoir été porté au moins une fois. Et après, quand cette chose-là a été donnée, vous pouvez être seul.

La solitude n’est plus jamais mauvaise. Même si on ne vous porte plus, même si on ne vous aime plus, même si on ne vous regarde plus, ce qui a été donné vraiment une fois, l’a été pour toujours. A ce moment là, vous pouvez aller vers la solitude comme une hirondelle peut aller vers le ciel. » Ch Bobin – Philosophie magazine

Tous les cygnes ne sont pas blancs

Nos certitudes ne peuvent porter que sur le faux !

Il est possible de prouver que l’affirmation « tous les cygnes sont blancs » est fausse par l’observation d’un cygne noir, mais il est impossible de prouver que cette affirmation est vraie même si l’on n’observe que des cygnes blancs.